La chevauche d'une beauté...

Krine attendait depuis un long moment il attendait Mélodine. A vrai dire, il lui avait donné rendez vous ici mais elle tardait à venir... ainsi, il alla chasser... QUAND SOUDAIN, les fougères frémir laissant apparaître un lapin noir et blanc qui lui rappela les deux clans opposé qui se faisait la guerre sans raison...Puis, il décocha une flèche qu'il pointa sur sa cible... Krine la libéra d'un coup et elle se planta dans le dos de l'animal... Tranquillement, il continua sa chasse pendent presque une heure et peu après avoir attaché sa dernière proie, il entendit plusieurs bruits sourds... il compris que c'était Mélodine qui arrivait en chevauchent Nancy... puis il la vit apparaître au détours d'un chemin... elle était toujours aussi belle... il la contempla longuement et alla l'aider à descendre de sa jument bien aimée...

Mélodine le laissa la prendre par la taille puis elle lui sauta à terre. Elle avait galopé longtemp et se doutais que Krine l'avait attendu Pendant presque une heure... mais elle lui dit quand même:
-Salut... je t'es donné rendez-vous ici pour discuter du fait que je vais quitter mon clan.... tu es vraiment sûr que tu ne veut pas le rejoindre? Tu verra, ça sera super et tu fera quasiment tout ce que tu veut, j't'assure...
Puis, Mélo ajusta son ponchos et s'assit dans l'herbe, bouche bée...
-C'EST DÉJÀ LA NUIT ???
En réalité, elle n'avait pas remarqué dans la nuit qu'il était la pleine lune mais quand elle l'eut vu, elle s'ébahit de plus ... puis proposa tout de même à Krine de faire un feu et de dormir ici... Elle attendait la réponse...
-Aloooooors...

Krine accepta et alla chercher du bois (pour le feu) et donna à Mélodine les lapins et autre qu'il avait capturé...
Ainsi, il courut chercher le bois et en revint les bras chargés... il les déposa sans dire un mot et alluma le feu pour se réchauffer...Puis enfin il repris le sujet en mains...
-Non, désolé mais je rechigne à aller dans un clans... les guerre sans raisons ne sont pas mon genre, au contraire...
Puis, il s'allongea tranquillement... il demanda où était née Mélodine et plein d'autre informations...

-Moi, où je suis née? C'est bien simple...je suis née dans la maison de mes parents: j'y est passé ma vie, jusqu'à que mon père meurt... après ma sœur est devenu reine de ce royaume et l'a gouverné jusqu'à maintenant... c'est clair non? Par contre pour mon âge je t'informe maintenant et je ne le redirait pas deux fois j'ai 19 ans...
Puis, épuisée Mélodine s'allongea et fixa Krine dans les yeux et lui dit:
-Mais peut importe nos différences, je t'aime...
Mélo fixa ensuite le feu et ses flammes qui dansaient

Elle était allongée qun=and elle avait dit ça et Krine l'était de même.

Krine s'accouda au sol pour se rapprocher du visage de Mélodine et lui dit:

-C'est bizarre... tu es plus jeune que moi, tu a beaucoup de connaissances certes mais pas autant que moi et je ne me vente pas... et pourtant, quand je t'écoute, j'ai l'impression d'être un enfant...

Puis, il poussa doucement une mèche sombre qui barrait le front de Mélodine, caressa le velour de sa joue et se rapprocha pour l'embrasser...

D'un seul coup, je fut figée... il... enfin heuuu.. comment dire...IL ALLAIT M'EMBRASSER!!! Enfaite... je mourait d'envie que ses lèvres se posent sur les miennes et redoutait par dessus tout qu'elles le fassent... malgrès moi, je plaçait une main hésitante derrière sa nuque... me rapprocha et.............. L'embrassa. nos parfum (lui le parfum plutôt de la nature et moi de la vanille et du caramel) s'entrelacèrent... ils me donnèrent le goût de l'amour, le vrai... celui au quel on s'attache jusqu'à la mort mais qui n'est supportable qu'a deux... c'était à la fois horrible et merveilleux... vraiment inexplicable. Je bégayait tout en murmurent:
-Je...je..je t'aime.

(Je prévient tout le' monde que ce P.V va être extrêmement court...)

Krine souffla à l'oreille de Mélodine:
-Moi aussi.
Puis, il s'endormit.

Mélodine profita du fait que Krine dormait pour aller vers l'Océan.

( La suite EST dans le lieux: l'Océan)

Krine se reveillat en sursaut, non pas à cause d'un bruit, mais à cause du silence, il regarda devant lui et vit... Le vide, Mélodine était partie, il suffisait de l'attendre. Une fois Mélodine revenue, il lui proposa d'aller dans la plaine des rires, il annonçât que c'était un lieu magnifique.
Après avoir fait la proposition, il se releva (car il était assis) et épousseta son poncho.
Il proposa ensuite à Mélodine de dormir là-bas, dans la plaine.
Je tien à avertir Mélodine que je regrette... (c'est normal si il y a seulement Maria et Anaïs qui comprennent...)

Étonnée de cette proposition mais d'accord, j'acquiesçai et monta directement à cheval. Je commença à poser des questions sur les origines de Krine et sur sa vie.
-Au fait, où es tu né? Et qui est ton père, ta mère?
Sans plus faire attention à ma fatigue qu'à ma chance, je mit debout sur la selle de ma jument adorée et explosa de rire, j'étais heureuse, heureuse par ce que j'aimais, que je vivait et... QUE LA VIE ÉTAIT C'QUI IL Y AVAIT DE PLUS COOOOOOOL!
Nous passâmes sur un pont, dans la rivière, sautâmes au dessus de maintes et maintes crevasses, sans plus que je tombe ou que j'ai peur. Ma jument, toujours galopant au plus vite, heureuse, tout comme moi.

Krine ne répondit pas aux questions, il contemplait... Mélodine. Elle était belle comme un rêve. Douce comme un flocon glaciale virevoltant, invincible, au dessus d'un feu, le feu de la chaleur qu'elle dégageait, une vrai porcelaine, protégée, d'une bulle d'amour indestructible, elle était belle.
Lui aussi commença à faire des acrobaties, juché sur son cheval au galop. D'abbord, il fut accroupi, puis, en équilibre sur les mains et... bizarrement il s'aperçut que son rire était contagieux (pas celui de Krine, celui de Mélo!). Quelques heures après, il dut s'arrêter dans la plaine, laissant Mélodine parcourir le reste du chemin seule...